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Quand le cerveau s’attend toujours au pire
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Ce schéma se construit souvent dès l’enfance dans un contexte de :
• Déceptions répétées
• Surprotection parentale
• Modèle familial pessimiste
• Peurs exprimées comme réalités inévitables
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« Ne rêve pas trop, tu vas être déçu. »
« Il faut toujours s’attendre au pire. »
« Le bonheur ne dure jamais. »
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• « Quelque chose va mal tourner. »
• « Ce bonheur est temporaire. »
• « Je dois me préparer à l’échec. »
• « Rien ne se passe jamais comme prévu. »
➡️ Ces pensées provoquent méfiance, blocage, retrait ou auto-sabotage.
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• Peur d’aimer trop fort : « Il finira par me quitter. »
• Préférence pour fuir plutôt que risquer l’abandon.
• Surprotection de l’autre ou contrôle de la relation.
• Réactions intenses au moindre problème.
• Difficulté à profiter de l’instant présent.
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• Auto-réalisation des peurs : l’anticipation négative empêche la joie.
• Isolement, manque de spontanéité, désengagement émotionnel.
• Épuisement mental dû à la surévaluation des risques.
💡
Le pessimisme peut être un réflexe protecteur appris,
mais il n’est pas une vérité absolue.
🧘♀️ Il est possible de désamorcer ce schéma avec un travail de fond sur la confiance, la gratitude, et la reformulation positive.
- Young, J. E., Klosko, J. S. ., & Weishaar, M. E. . (2017). La thérapie des schémas : Approche cognitive des troubles de la personnalité (B. Pascal, Trad.; [2e édition]). De Boeck Supérieur.